

L’article («Notes on palaeopathology» dans le journal de vulgarisation scientifique Popular Science Monthly 1893 42, 679–684), dans lequel, le premier, il emploie le mot Palaeopathologie est très court. Il y décrit des séquelles de fractures sur des os d’oiseaux. Il définit le mot «Palaeopathology» (palaeo : ancien et pathos : souffrance comme le «terme désignant toutes les maladies ou conditions pathologiques trouvées fossilisées sur des restes d’animaux d’espèces éteintes ou fossiles».
Ce sera sa seule contribution à la paléopathologie qui ne se développera qu’avec les travaux du chercheur franco-anglais Marc Armand Ruffer.

